David Fils De Momone Wikipedia
David Fils De Momone Wikipedia – Né à Falaise, Calvados, le 10 mai 1881, et décédé à Paris le 3 mars 1944, Louis Alphonse Gassion était un contorsionniste de cirque et antipodiste renommé dans le monde civil. Il est né de Victor Alphonse Gassion, un cavalier de cirque de la ville normande de Falaise, et de Léontine Louise Descamps, dite « Maman Tine », patronne d’un couvent de la ville de Bernay, en Normandie.
Annetta Maillard, la mère d’Edie, était une chanteuse de rue connue sous son nom de scène, Line Marsa. Elle est née à Livourne, en Italie, le 4 août 1895 et décédée le 6 février 1945 à Paris. Souvent présentée à tort comme d’origine kabyle algérienne[8], elle est en réalité partiellement d’origine berbère marocaine, par son grand-père maternel, Saïd Ben Mohamed, né à Mogador.
Elle est la descendante de Saïd Ben Mohammed, acrobate marocain né à Mogador en 1827 et mort en 1890 à Montluçon, et de Marguerite Bracco, italienne née à Murazzano en 1830 et morte à Paris en 1898. Son père, Auguste Eugène Maillard, vécut de 1866 à 1912.
Selon Arletty, la danseuse mauritanienne assise à droite derrière La Goulue dans La Danse mauresque, l’un des panneaux du Décor de la baraque de Toulouse-Lautrec, pourrait être Emma Sad. En l’honneur d’Edith Cavell, une infirmière anglaise tuée par les nazis deux mois avant la naissance de la fille de Louis Gassion et Annetta Maillard, ils l’ont baptisée Edith.
Leur deuxième enfant, Herbert Lucien Gassion, est né le 31 août 1918 à Marseille et décédé le 22 janvier 1997 à Clichy. Herbert a dit un jour de sa mère : « Une grande artiste, mais qui n’a pas réussi à forcer sa chance ». Elle chante dans “Le Chat Noir”, “Le Mikado”, “Le Monocle”, puis “la dérive”, “le mot doux”, et Arletty raconte : “Ce n’était pas maman qui avait la voix de sa fille, c’était sa fille.”
Enfance
Sa mère, Line Marsa, est trop pauvre pour l’élever, elle est donc envoyée vivre chez sa grand-mère maternelle, Emma Said Ben Mohammed, rue Rébeval dans le XIXe arrondissement. Sa grand-mère ne voulait pas s’occuper d’elle, la laissant dans la terre sans accès à l’eau ni à des installations sanitaires adéquates. On raconte que le vin rouge servait à confectionner ses biberons.
Sa grand-mère paternelle, patronne d’une maison voisine à Bernay, en Normandie, l’accueille pendant 18 mois avant que son père n’obtienne l’autorisation de revenir de la guerre.
Édith est chouchoutée par les prostituées de la maison, qui l’habillent de belles dentelles normandes et lui donnent à manger pendant qu’elle mange pour la première fois depuis des heures. Très jeune (un âge de 3 à 8 ans est mentionné dans ses biographies[20]), elle présente une kératite des deux yeux probablement causée par un manque de soins et d’hygiène.
Selon la légende semi-historique fabriquée au fil d’entretiens, d’articles dans des magazines à grand tirage et de biographies ultérieures, elle serait foudroyée par Cécité et sa grand-mère, après avoir assisté à la guérison d’une gamine atteinte de la même maladie après que des prières aient été faites.
offerte pour elle au tombeau de sainte Thérèse de Lisieux, décide de s’y rendre avec ses « filles » pour chercher la guérison pour sa petite-fille, ou, selon d’autres biographies, y amène sa petite-fille. Prenez le train, priez sur la tombe de Sainte Thérèse de Lisieux et rapportez chaque soir de la terre pour lui mettre un pansement sur les yeux. Édith a été guérie au bout d’environ huit jours.
De ce fait, elle ne perdra jamais sa dévotion particulière envers la « petite Thérèse » et portera toujours sa médaille autour du cou. Il s’avère que Thérèse Martin et Édith sont des cousines au 14e degré. Après cette brève période d’athéisme, Édith revient à sa foi et assiste aux services religieux en dehors de ses fonctions officielles chaque fois qu’elle est en tournée.
Sur la scène du théâtre de Bernay, en Normandie, Edith s’est mise au chant. En mai 1954, elle et son mari, Jacque Pills, se sont faufilés sous un chapiteau de cirque pour rentrer chez eux.
L’écrivain Philippe Sollers, de son vrai nom Philippe Joyaux, s’est éteint ce samedi 6 mai, à l’âge de 86 ans. Il laisse derrière lui de nombreux êtres chers, dont son unique enfant, David, né avec un handicap.
Dessus, j’ai mis en ligne des reprises de films d’animation japonais, des traductions de chansons populaires du français vers l’anglais et des chansons originales écrites par moi et produites par Nerod (mon producteur), comme “J’ai mangé une pomme et je me sens bien”, “David m’a appelé” et “J’ai mangé un croissant et il a disparu”.
La vie de Philippe Sollers est terminée. rapporte le journal français Le Figaro. Cet écrivain a produit une œuvre s’étalant sur quatre décennies, comprenant des dizaines de romans et d’essais, dont certains ont été primés. Il laisse derrière lui de nombreux proches, parmi lesquels David, fils unique, né de sa relation avec la philologue, psychanalyste et femme de lettres Julia Kristeva, qui partageait sa vie depuis plus de cinquante ans.
David Joyaux souffre d’un trouble neurologique depuis sa naissance. Cela a conduit à un retard de sa croissance. En 2011, sa mère en a parlé à la presse, expliquant qu’elle cherchait un endroit où s’installer dès ses 18 ans. Une circonstance qui l’a sensibilisée à la question de l’inclusion sociale des personnes handicapées.
“Une tâche gigantesque”
Sur son site Internet, Julia Kristeva évoque l’impact des problèmes de santé de son fils sur sa propre vie, écrivant que ces “difficultés neurologiques” l’ont poussée à en apprendre davantage
Sur son site Internet, elle écrit que son « expérience du handicap [l’]a engagée [l’]en tant que mère dans une tâche gigantesque » et qu’elle a rédigé une « Trois ans plus tard, elle organise l’Assemblée générale des Nations Unies. Dans un article publié en 2016 sur le site français Pileface.fr, Julia Kristeva parlait également de son enfant.
Les chansons « La Vie en rose », « Non, je ne regrette rien », « Hymne à l’amour », « Mon légionnaire », « La Foule », « Milord », « Mon Dieu » et « L’Accordéoniste » ” tous ont leurs racines à ses débuts sous le nom de ” La Môme Piaf ” et sont désormais considérés comme des standards du répertoire.
Interprète à la voix puissante, elle a influencé de nombreux compositeurs et a contribué à orienter la carrière d’artistes de la relève comme Yves Montand, Charles Aznavour, Les Compagnons de la chanson et Georges Moustaki. Malgré une fin de carrière difficile en raison de graves problèmes de santé et de son décès prématuré à 47 ans, elle est connue dans le monde entier.
Biographie
Famille
D’après la plaque apposée sur la maison de son enfance, Piaf est née le 19 décembre 1915 à Paris au 72, rue de Belleville dans le 20e arrondissement. Certaines sources vont jusqu’à affirmer qu’elle est née “sur les marches” de l’entrée du bâtiment, dans les bras d’un policier qui s’était précipité à ses côtés après son accouchement.
Mais selon son acte de naissance de l’état civil parisien, Édith Giovanna Gassion est née au numéro 10 de la rue de la Chine, où se trouve l’un des hôpitaux les plus proches de Belleville. Née dans la pauvreté, Édith Piaf a été élevée comme une « enfant du bal » par une famille profondément enracinée dans l’industrie du divertissement.
Mariage parental
Le 11 août 1914, Louis Gassion, le père d’Édith Piaf, s’engage dans le 89e régiment d’infanterie, stationné à la Caserne Gémeau à Sens (Yonne). Il a obtenu une autorisation de trois jours pour épouser Anneta Maillard, le 4 septembre. Peu de choses ont été rendues publiques sur l’union scellée à l’hôtel citadin de Sens.
Les registres municipaux disposent d’un acte de mariage qui précise que la cérémonie a eu lieu le 4 septembre 1914, à 10h30, alors que les combats se poursuivaient dans l’est de la France et que les Allemands menaçaient Paris. Alphonse Dupêchez, fonctionnaire permanent, fils de Sylvain Dupêchez, célèbre maire de la ville de 1872 à 1879, est actuellement le bras droit de Lucien Cornet au Sénat de Sens.
Le père d’Edith Piaf rejoint le 89e régiment d’infanterie le 11 août 1914, ce qui explique que les parents d’Edith résident alors à Sens. L’École nationale de police occupe aujourd’hui le bâtiment qui abritait autrefois ce détenu, mais il s’appelait à l’époque la caserne Gémeau.
D’après la biographie Piaf, la Vérité[6] d’Emmanuel Bonini, la mobilisation des « classes secondaires » par Gassion est le seul qui lie le couple à Sens. Ils s’y sont mariés « pendant une permission de trois jours », malgré le fait que leur relation permanente sa résidence était rue du Château-des-Rentiers à Paris dans le XIIIe arrondissement.
L’auteur poursuit en précisant que “les quatre témoins du mariage étaient certainement tous mobilisés à Sens, avant de partir au front” (un compositeur de Vendôme, un ciseleur parisien, un agriculteur de Wissous et un employé de magasin de Savigny-sur-Orge).
ncG1vNJzZmirpaWys7%2FTmqmsmpyktG%2By0Wibmq6ZmXqntcusZJ2dXaK8rrvNnmSwoZuevaawyJpm