Qui Est L pouse De David Kammenos
Qui Est L Épouse De David Kammenos – Bourgoin-Jalieu est un petit village près de Lyon où David Kammenos a grandi. Il est d’origine grecque et italienne. A 23 ans, il s’installe dans la grande ville pour étudier l’histoire de l’art et suivre des cours de théâtre. Le jeune homme est reconnu dans la rue au moment où il commence à douter de la direction que prend sa vie.
Cette première fois devant les projecteurs est ce qui va finalement l’initier au cinéma. Ainsi, après avoir joué dans l’Empire des loups en 2004, il s’est fait connaître dans Comme t’y es belles en 2005, une comédie française.
Le remplaçant de Sagamore Stévenin en tant que personnage principal de Falco, David Kammenos, fera ses débuts dans la série en avril prochain. Maxime Kucing, un criminel condamné, habite ce monde. L’acteur travaille également sur le tournage de “L’origine de la violence”.
Le comédien vient de terminer trois tournages sous la direction de réalisatrices, et leurs efforts seront présentés ce soir à 20h55 sur l’affiche “Menaces on Kermadec” de Channel One. En réponse, il exprime son bonheur et nous dit pourquoi.
Après sa tournée, il m’a appelé pour programmer une réunion avec moi ce soir-là. David Kammenos, détendu comme toujours, nous a rencontrés pour discuter du téléfilm “Menaces sur Kermadec”, l’un des “nombreux” qu’il a tournés cette année.
Il semble s’excuser de son autoritarisme excessif en disant : « C’est la télévision qui rend cela possible : il y a toujours beaucoup de monde. Par contre, être intermittent place déjà dans une position unique en termes de vie sociale. Je fais de longues tournées puis je me précipite chez moi pour me changer en mon pyjama vert.
Par conséquent, je suis moins touché par la pandémie que quelqu’un qui mène une vie plus typique. C’est plus difficile de voir des êtres chers… Pourtant, je pense que nous avons tous bien ri à nos dépens.”
“Ouais ! Nous nous sommes retrouvés dans un paysage bizarre à Karnak. Cependant, prendre une douche avant le travail est un vrai luxe. Et enfin, faire une comédie romantique – c’est un polar, mais pas que -, ça fait du bien.
Est-ce pour cela que vous avez décidé de rester de ce côté sombre du polaire ?
J’ai fait des ours polaires traditionnels pour les familles, et ils ont bien plu à la foule. Mais je voulais autre chose, et ce que j’aimais le plus, c’était que c’était un peu courant tout en offrant des opportunités de divertissement et d’exploration de formes de jeu alternatives. Au début, on se croirait dans un “Meurtres à…” mais ensuite, “hop, ça part un peu ailleurs”.
Il y a une scène de combat où vous et Claire Keim y allez. On pourrait imaginer un dessin animé. On se croirait à nouveau dans du déjà-vu. (rires) C’est ce dont nous avons discuté avec le réalisateur ; que parfois nous voulions nous pencher davantage vers la BD dans le but de faire avancer un peu l’intrigue sans aliéner le public. Il fallait un bon dosage. Néanmoins, il est maintenant temps pour cette bataille de vraiment décoller.
Ce feuilleton télévisé met en vedette Sami Nacéri. Ce fut un voyage plutôt surréaliste pour lui. Comment c’était avec vous deux ?
C’est vrai que je n’ai passé que peu de temps en sa compagnie, mais nous nous sommes à peine vus. Pour faire simple, nous nous sommes croisés, nous nous sommes attardés sur un café, etc. C’est un coup de chance que ces unités soient fréquentées par des personnes aux histoires intéressantes, car ces transitoires apportent une variété bien nécessaire à la monotonie de la routine quotidienne.
J’ai fait des tournées avec des gens comme Bulle Ogier… Ici, nous sommes confrontés à quelqu’un qui semble surgir de nulle part. Au fur et à mesure de ses activités quotidiennes et de ses tâches professionnelles. Tout cela – son histoire – est accueilli à bras ouverts. Mais j’ai vu un homme qui était manifestement ravi d’être là et qui était plutôt agréable à côtoyer. Une cuillerée de glace”
Vous sentez-vous encore parfois “spectateur” sur un plateau ?
J’ai tendance à vivre un style de vie un peu sporadique, il va donc de soi que mon travail est souvent sporadique également. Une fois que c’est fait, tout le monde fait une série d’applaudissements.
Avec Élodie Bouchez, j’ai tourné un court métrage qui m’a beaucoup plu, et j’y ai vécu mon premier vrai cri cinématographique. Elle s’est lancée dans un monologue, et j’ai eu le genre d’émotion que je ne ressens qu’en allant voir un film qui change complètement ma perspective.
Vous semblez penser que vous avez eu de la chance et que la tournure des événements a été raisonnablement bonne. La question est, “Quoi, en fait?” J’ai filmé le premier effort solo de Sandrine Veysset, l’actrice derrière le classique des fêtes “Y aura-t-il de la neige à Nol ?” pour la télévision. Ça s’appelle “La vie avant toi”, et Zoé Heran, qui joue ma fille, est fantastique.
Ensuite, j’ai tourné une vieille série intitulée “Et la montagne fleurira”, écrite par Éléonore Faucher, en même temps que “Menaces sur Kermadec”, ce qui était assez difficile car je voyageais de la Bretagne à la Provence.
C’est aussi une grande réaliste. Philippe Torreton, Constance Dollé, Hélène de Fougerolles et Michel Jonasz jouent dans ce drame d’époque sur Napoléon. Mettre la touche finale à la tenue ajoute une couche supplémentaire de plaisir, n’est-ce pas ?
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